fifine
Affection de ma vie
J’avais une bonne amie intime
Une furette extravertie
Je la hélais, Fifine
Souvenir de l’Ile bourbon
Réunion de mes jeux de quine*
Elle se promenait
En toutes latitudes
Sur mes grands parquets
Jour de canicule, j’ai ouvert
Le petit vasistas du vent
Pour avoir de l’air
Furette éprise de liberté
Tu as trouvé le chemin entrouvert
Et tu t’en es allée
A mon nouveau lever
Tu ne m’as pas étreint
Avec ton petit bout de nez
J’ai contourné le grand pâté
De ces maisons concentrées à mon autour
Toutes souhaitaient me consoler
Je t’ai retrouvé sur la petite route
Instant de mes pleurs en débâcle
Me signifiant de ne plus penser au doute
Yeux perdus, tu ne me regardais plus
Nez abattu, tu ne me parlais de nous
Membres déchus, tu n’étais plus
Tremblements stimulant ma rage
Pourquoi toi Fifine la tolérante !
Jamais tu ne fus en esclavage
Tu étais plus que mon amie
Tu étais un animal pour sûr
Mais on se comprenait ; C’est dit !
J’ai toujours vécu avec elle
Des temps en dentelles quotidien
Ceux qui vous tissent une vie belle
O désir d’être prés d’elle
Mes yeux à la nuit infinie
Se ferment, plainte cicatricielle
☼ƑƇ
Nota : *quine : mot désignant à
L’Ile de la Réunion le jeu de loto,
Très prisé par les Réunionnais.
J’avais une bonne amie intime
Une furette extravertie
Je la hélais, Fifine
Souvenir de l’Ile bourbon
Réunion de mes jeux de quine*
Elle se promenait
En toutes latitudes
Sur mes grands parquets
Jour de canicule, j’ai ouvert
Le petit vasistas du vent
Pour avoir de l’air
Furette éprise de liberté
Tu as trouvé le chemin entrouvert
Et tu t’en es allée
A mon nouveau lever
Tu ne m’as pas étreint
Avec ton petit bout de nez
J’ai contourné le grand pâté
De ces maisons concentrées à mon autour
Toutes souhaitaient me consoler
Je t’ai retrouvé sur la petite route
Instant de mes pleurs en débâcle
Me signifiant de ne plus penser au doute
Yeux perdus, tu ne me regardais plus
Nez abattu, tu ne me parlais de nous
Membres déchus, tu n’étais plus
Tremblements stimulant ma rage
Pourquoi toi Fifine la tolérante !
Jamais tu ne fus en esclavage
Tu étais plus que mon amie
Tu étais un animal pour sûr
Mais on se comprenait ; C’est dit !
J’ai toujours vécu avec elle
Des temps en dentelles quotidien
Ceux qui vous tissent une vie belle
O désir d’être prés d’elle
Mes yeux à la nuit infinie
Se ferment, plainte cicatricielle
☼ƑƇ
Nota : *quine : mot désignant à
L’Ile de la Réunion le jeu de loto,
Très prisé par les Réunionnais.
KOMENTARZE
DODAJ KOMENTARZ