Comme des albatros atterrissages pas souvent roses
Ce n'est qu'après longtemps après que l'on comprend entreprend
Qu'on peut soulever d'une poignée de force le temps par tout temps
On ne tue pas l'enfance et tout ne part pas dans le vent qu'emporte les grands
Bien-sûr en grandissant viennent les tempêtes diluviennes et browniennes
Qui frappent nos doutes jusqu'à la fin du jour les déversant dans les Vespasiennes
Lieu de nos désirs condamnés où les molécules du fluide s'y piège en piège
Et pourtant qui n'avance pas recul si l'on pense que les atomes, principales ne peuvent trouver le repos
Dans l'arpège ou mort à mort ces quelques bergers de troupeaux qui sabotent nos galops
Qu'on ne sait plus quels obstacles ils nous faut éviter pour ne plus l'avoir dans le dos
Le cœur que souvent l'on veut donner à l'universel , mais les battements à fleur de peur
De peur de manquer d'air , elles font l'objet de nombreuses anecdotes chez les bluffeurs
Qu'on ne les voit que dans leur agitation de se rencontrer comme de faux bourlingueurs
Ainsi fils de bourgeois n'est pas souvent celui qu'il faut condamner sur la place de grève
Sous toits de chaumes j'en ai connu qui pour quelques sous ont signer le pacte des traitres
et d'ailleurs par ailleurs qui furent les plus grands révolutionnaires en passant par Apollinaire
qui a voulu apprendre en vers et strophes les bonnes manières
Ne dit on pas débusquer les faux amis les parents jaloux est comme vouloir nettoyer l'anus d'une hyène?
Mais finalement qui n'est pas hyène ou vautour à tour de rôle plus le temps nous fait tourment
protègent nos mystères comme pierres précieuses avec pour compagne madame méfiance
celle qui s'envole dans l'espace temps de temps en temps
ô vous les gens en prime ne soyez pas désobligeant pour cela il y faut quelques talents
Il y à de vérité de ne soit mauvaise à entendre , le hasard n'existe que dans les livres à contes
Bien-sur on s'y accroche de l'aube à l'aurore les yeux verts de gris devenus sous le poids des tomes
Mais n'est-ce pas dans chaque page écrite de nos mains que l'on trouve la justesse des psaumes
Mais nous voici toujours cherchant dans le vide le mystère de la vie se laissant porter par du vent
On l'aime le vent c'est l'amour fort entre lui et nous . Il balaye tout sur son passage comme un amant
On aime la mer? !Voici les albatros atterrissages pas souvent roses peut-être par ce manque de slogan
Qu'on peut soulever d'une poignée de force le temps par tout temps
On ne tue pas l'enfance et tout ne part pas dans le vent qu'emporte les grands
Bien-sûr en grandissant viennent les tempêtes diluviennes et browniennes
Qui frappent nos doutes jusqu'à la fin du jour les déversant dans les Vespasiennes
Lieu de nos désirs condamnés où les molécules du fluide s'y piège en piège
Et pourtant qui n'avance pas recul si l'on pense que les atomes, principales ne peuvent trouver le repos
Dans l'arpège ou mort à mort ces quelques bergers de troupeaux qui sabotent nos galops
Qu'on ne sait plus quels obstacles ils nous faut éviter pour ne plus l'avoir dans le dos
Le cœur que souvent l'on veut donner à l'universel , mais les battements à fleur de peur
De peur de manquer d'air , elles font l'objet de nombreuses anecdotes chez les bluffeurs
Qu'on ne les voit que dans leur agitation de se rencontrer comme de faux bourlingueurs
Ainsi fils de bourgeois n'est pas souvent celui qu'il faut condamner sur la place de grève
Sous toits de chaumes j'en ai connu qui pour quelques sous ont signer le pacte des traitres
et d'ailleurs par ailleurs qui furent les plus grands révolutionnaires en passant par Apollinaire
qui a voulu apprendre en vers et strophes les bonnes manières
Ne dit on pas débusquer les faux amis les parents jaloux est comme vouloir nettoyer l'anus d'une hyène?
Mais finalement qui n'est pas hyène ou vautour à tour de rôle plus le temps nous fait tourment
protègent nos mystères comme pierres précieuses avec pour compagne madame méfiance
celle qui s'envole dans l'espace temps de temps en temps
ô vous les gens en prime ne soyez pas désobligeant pour cela il y faut quelques talents
Il y à de vérité de ne soit mauvaise à entendre , le hasard n'existe que dans les livres à contes
Bien-sur on s'y accroche de l'aube à l'aurore les yeux verts de gris devenus sous le poids des tomes
Mais n'est-ce pas dans chaque page écrite de nos mains que l'on trouve la justesse des psaumes
Mais nous voici toujours cherchant dans le vide le mystère de la vie se laissant porter par du vent
On l'aime le vent c'est l'amour fort entre lui et nous . Il balaye tout sur son passage comme un amant
On aime la mer? !Voici les albatros atterrissages pas souvent roses peut-être par ce manque de slogan

ben oui
t'as pas corrigé les fautes Zetoun ahahahahahj'irais plus loin dans mes mots c'est promis
un par jour ici :))))))))
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