ça s'arrose ô ça s'arrose ! Dit le chant de l'albatros

Chante l'albatros! Maladroitement dans le pays d'Ose!
Où la belle moribonde presque ! Y fit une pause

Pendant que les vieux monocles avaient un sacré,
mal de vivre . Lui relirent son abécédaire en apnée

Mais leurs souffles étaient si amer annoncant
La vague accoucheuse nécrosante quant à présent

Elle dut boire leurs spectres qui crachent
Cette curieuse lumière blanche et âcre

Se demanda ! je suis née pour jouer les papilles ?
Je ne suis pas le port des minimes pour la capitainerie

Ni pour les opprimés des foyers guichetièrs Gam-over
Où les lueurs terminent devant les téléviseurs

Sur la chaine cablé soleil qui arrose tous le vieux canapés
en simili cuite & cuir mémoire en déroute il a tout absorbé

ça s'arrose ô ça s'arrose
il dit le canapé

à toutes âges, des vierges et pucelets
la coquille au cul nobles demoiselles

Pour un temps d'amour
En proue en retour

En avant matelots rebellion fusse recouvrance
beaupré et pavois vos mâts ,la madelon quémande