Mais aujourd'hui quand n'est-il
je me balance sur une corde raide
Et un jour elle cédera je le sais
Et sans nul doute je le souhaite
Je voulais juste vivre dit-il le terrain
Un jour vous êtes arrivés stupides humains
Vous m'avez tout pris et vous osez vous plaindre
Souvent lorsque je vous regarde face à face
J'aimerai vous enfermer dans un sarcophage
Presque 6 milliards de présumés coupables
Mais qu'est-ce donc que cet amour
Dont vous me parlez depuis ma clarté au jour
Celui pour qui , celui pourquoi le vôtre toujours !
N'y a t'il rien que vous ne fassiez sans faire le mal
Ô jeu d'homo sapiens !Ô tromperie inavouable !
Mes larges cadeaux étaient pourtant à pointes égales
Semble vouliez les transformer en d'infernales prisons
Ô humain ô hommes ô femmes mais qui êtes vous donc
Des ombres des fantomes des ondes des lumières sombres?
Hatez vous cavaliers de braver la flamme fierté des cœurs
L'amertume des pleurs n'a plus aucun sens je décompte les heures
Et toi par-dessus tous, promeneur sans voie à la mortelle peur
Parfois j'adorais te briser en funeste apparence
L'obscurité s'avance elle présage elle tremblante
Le vent la pousse vers l 'exile en dernière chance
Dans l'immensité qui s'agite en noirs tourbillons
Se refaire les paupières et ses lambeaux haillons
Elle déculpe ses efforts sur le toit du monde
Mais en sourdine hurle je tombe dans la suffoquante nuit
Et toi baroudeur des petits jours tu fugitive ta course livide
Sur le terrain houleux où tes dieux t'emporte dans le vide
Le tonnerre s'ecoule , le lointain coule, humain tu m'agaces !
De ton affreux conflit entre toi et toi! Contre toi bagarre !
Eclate tous les éffrois qui abiment mon Ame la teintant écarlate
Tu n'es rien sans moi je suis tout sans toi et sans tourment
Eblouissante : L'univers me fit il y a presque 6 miliards d'Ans
Jeune et belle joyseuse de flots en flots éclose fraichement
Mais aujourd'hui quand n'est-il
Mais aujourd'hui que reste t-il
Mais aujourd'hui humain tu m'épuises
Et un jour elle cédera je le sais
Et sans nul doute je le souhaite
Je voulais juste vivre dit-il le terrain
Un jour vous êtes arrivés stupides humains
Vous m'avez tout pris et vous osez vous plaindre
Souvent lorsque je vous regarde face à face
J'aimerai vous enfermer dans un sarcophage
Presque 6 milliards de présumés coupables
Mais qu'est-ce donc que cet amour
Dont vous me parlez depuis ma clarté au jour
Celui pour qui , celui pourquoi le vôtre toujours !
N'y a t'il rien que vous ne fassiez sans faire le mal
Ô jeu d'homo sapiens !Ô tromperie inavouable !
Mes larges cadeaux étaient pourtant à pointes égales
Semble vouliez les transformer en d'infernales prisons
Ô humain ô hommes ô femmes mais qui êtes vous donc
Des ombres des fantomes des ondes des lumières sombres?
Hatez vous cavaliers de braver la flamme fierté des cœurs
L'amertume des pleurs n'a plus aucun sens je décompte les heures
Et toi par-dessus tous, promeneur sans voie à la mortelle peur
Parfois j'adorais te briser en funeste apparence
L'obscurité s'avance elle présage elle tremblante
Le vent la pousse vers l 'exile en dernière chance
Dans l'immensité qui s'agite en noirs tourbillons
Se refaire les paupières et ses lambeaux haillons
Elle déculpe ses efforts sur le toit du monde
Mais en sourdine hurle je tombe dans la suffoquante nuit
Et toi baroudeur des petits jours tu fugitive ta course livide
Sur le terrain houleux où tes dieux t'emporte dans le vide
Le tonnerre s'ecoule , le lointain coule, humain tu m'agaces !
De ton affreux conflit entre toi et toi! Contre toi bagarre !
Eclate tous les éffrois qui abiment mon Ame la teintant écarlate
Tu n'es rien sans moi je suis tout sans toi et sans tourment
Eblouissante : L'univers me fit il y a presque 6 miliards d'Ans
Jeune et belle joyseuse de flots en flots éclose fraichement
Mais aujourd'hui quand n'est-il
Mais aujourd'hui que reste t-il
Mais aujourd'hui humain tu m'épuises
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