La poisse.
Des jours je vous demande . Homme mais que dit on de moi ?
Dès que vous ouvrez la bouche je vous ai entendu dire. La poisse !
J'ai combattu tous vos ghettos je m'en suis sorti
Comme loup pour moi même . Aujourd'hui j'en déprime
Je vous ai prétendu pour folle femme , le coeur a fleur de peau
ou la peau a fleur de faux , ne pouvais résister aux autres assauts
de ces femelles affrétées à mon cargo ma dérive en brin le ballant
bien souvent . Monsieur: un jour vous y perdrez vos extrémités : embêtant !
Vous y froisserez même votre mémoire jusqu'à vos vingt ans et vos premiers baisers
Rappelez vous monsieur en abondance vous les cueillez comme fruits acidulés
Sous les jupes au beau vent des déesses où fîtes damner vos quelques années de plus
Mort a mort disent les Orphées elles reviennent de grandes terres abruptes ,
Vous dire vos prisons sont cages même dorées faites nous merveilles où allez hier
hebêter les chambrières sous les toits de soho, elles vous feront les poussières
Elles sont nées pour cela , ils y en a comme ça pensant que l' homme à tout pouvoir
C'est ennuyeux viennent de pâles lendemains quand le linge sale se tend sur le séchoir
Allez Allez Bonaparte, je vous donne le prix des madelons faites en actes
Signez Napolèon en bas de la page et dans l'alpage détroussez les corsages
de celles qui vous donnent droit à l'aval , mais attention charmant caporal
vous y avez perdu beaucoup d'hommes au champ à la bataille d'Iéna
de celles qui vous donnent droit à l'aval , mais attention charmant caporal
vous y avez perdu beaucoup d'hommes au champ à la bataille d'Iéna
Dès que vous ouvrez la bouche je vous ai entendu dire. La poisse !
J'ai combattu tous vos ghettos je m'en suis sorti
Comme loup pour moi même . Aujourd'hui j'en déprime
Je vous ai prétendu pour folle femme , le coeur a fleur de peau
ou la peau a fleur de faux , ne pouvais résister aux autres assauts
de ces femelles affrétées à mon cargo ma dérive en brin le ballant
bien souvent . Monsieur: un jour vous y perdrez vos extrémités : embêtant !
Vous y froisserez même votre mémoire jusqu'à vos vingt ans et vos premiers baisers
Rappelez vous monsieur en abondance vous les cueillez comme fruits acidulés
Sous les jupes au beau vent des déesses où fîtes damner vos quelques années de plus
Mort a mort disent les Orphées elles reviennent de grandes terres abruptes ,
Vous dire vos prisons sont cages même dorées faites nous merveilles où allez hier
hebêter les chambrières sous les toits de soho, elles vous feront les poussières
Elles sont nées pour cela , ils y en a comme ça pensant que l' homme à tout pouvoir
C'est ennuyeux viennent de pâles lendemains quand le linge sale se tend sur le séchoir
Allez Allez Bonaparte, je vous donne le prix des madelons faites en actes
Signez Napolèon en bas de la page et dans l'alpage détroussez les corsages
de celles qui vous donnent droit à l'aval , mais attention charmant caporal
vous y avez perdu beaucoup d'hommes au champ à la bataille d'Iéna
de celles qui vous donnent droit à l'aval , mais attention charmant caporal
vous y avez perdu beaucoup d'hommes au champ à la bataille d'Iéna
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